Quelques jour après avoir acheté une Porsche 944 S de 1983, je suis convié à un rendez-vous pour choisir un véhicule.
Sur un parking d’une zone industrielle, pour mes 21 ans chance m’est donnée de pouvoir choisir un nouveau véhicule parmi trois « beautés » de la productions automobile.
A mon arrivée, je découvre donc :
- Une Jaguar Sovereign 6 Cylindre, vert anglais avec la sellerie cuir beige, malheureusement lacérée de coup de couteau. Elle avait 2 réservoir de carburant : cela m’a fait flipper.
- Une BMW E36 cabriolet motorisée avec un 325, grise en état moyen et surtout pas mal kilométrée.
- Une super 5 GT Turbo rouge (et grise à l’avant), légèrement accidentée mais réparable et intéressante.
A 20 ans, avec mes moyens et mes envies de Rallye, je fini par choisir la Super 5 GT Turbo. Surtout que, comparée aux deux autres, elle ne nécessite qu’un léger rafraichissement, une aile, un peu de tôlerie et de peinture.

Gros avantage, avec ses 45500 km au compteur, elle a trois fois moins roulé que la Jaguar ou la BMW !
Les pièces sont par ailleurs abordables à cette époque et j’ai l’habitude d’aller chez Renault pour ma Renault 11.

Après avoir fait acquisition de cette Renault Super GT Turbo de 1987 non roulante, j’entreprends donc quelques travaux pour la remettre en route. A commencer par l’embrayage et un tour d’horizon des travaux de carrosserie.
Un challenge de taille car si en apparence seule l’aile avant droite et le phare sont abimé, cette « remise en route » me réservera bien des surprises !!!